Robes Sauvages
Robes Sauvages 2016/2020 Projet à dimension éthologique autour du cheval.
Exposition en 2016 de la première étape du projet à Alkezar, Espagne
11 peintures, technique mixte sur papier, 150 x 200 cm
12 peintures, technique mixte sur toile, 116 x 89 cm
Vidéo «Robes sauvages», durée 4 »
12 peintures, technique mixte sur toile, 116 x 89 cm
Vidéo «Robes sauvages», durée 4 »
L’installation Robes sauvages est née d’un besoin de travailler métaphoriquement sur le concept de liberté et de respect de l’état de nature que je ressens comme un état privilégié et initial chez l’animal et chez l’humain.
L’installation s’organise autour d’une série de grandes réalisations graphiques (200 x150 cm) montrant le cheval dans les hardes et dans un environnement sauvage, d’une vidéo qui met en avant de véritables portraits qui nous regardent et nous questionnent, d’un travail de peinture de pelages nous entraînant dans un rapport virtuellement tactile avec l’animal. De nombreuses études ont précédé les réalisations finales.
Ma volonté était de me familiariser avec les mouvements, les masses, la dynamique, l’énergie et la vérité de la forme. Le coeur de mon projet est lié à mon attachement profond au monde animal perçu comme un monde unificateur permettant un rééquilibre de notre vision du monde et un réapprentissage de notre liberté et dignité d’exister.
Des auteurs tels que Paul Shepard dans «Retour aux sources du pléistocène» Jean-Christophe Bailly «Le parti pris des animaux» pour ne citer qu’eux ont nourri mon travail.
L’installation s’organise autour d’une série de grandes réalisations graphiques (200 x150 cm) montrant le cheval dans les hardes et dans un environnement sauvage, d’une vidéo qui met en avant de véritables portraits qui nous regardent et nous questionnent, d’un travail de peinture de pelages nous entraînant dans un rapport virtuellement tactile avec l’animal. De nombreuses études ont précédé les réalisations finales.
Ma volonté était de me familiariser avec les mouvements, les masses, la dynamique, l’énergie et la vérité de la forme. Le coeur de mon projet est lié à mon attachement profond au monde animal perçu comme un monde unificateur permettant un rééquilibre de notre vision du monde et un réapprentissage de notre liberté et dignité d’exister.
Des auteurs tels que Paul Shepard dans «Retour aux sources du pléistocène» Jean-Christophe Bailly «Le parti pris des animaux» pour ne citer qu’eux ont nourri mon travail.
«Les animaux sont la forme concrète de notre vie intérieure. Quand nous serons vidés de l’intérieur, nous ne saurons plus qui nous sommes.»
Paul Shepard
Extrait de Dix mille années de crise
En vue de l’installation finale regroupant vidéo, peintures et grands dessins et afin de permettre une circulation autour des grands panneaux, chaque verso est travaillé avec un fond à la tempéra, la représentation d’un chanfrein* en mine de plomb (coup de cœur pour cet objet découvert dans un musée de Venise à la Biennale 2019) et un extrait de textes relatifs au sauvage/nature, au rapport à l’animal ou/et notre animalité.
Musique : « Tarpan » de Alexis Toussaint musicien professionnel du collectif A tant rêver du Roi (www.atrdr.net) et Hart Brut (www.hartbrut.com)